le grand labbe

après cet accompagnement en règle car je devais être sur la zone de nidification, je suis sorti immédiatement de ma voiture et j'ai compris ce qui se passait. Je n'ai jamais eu peur mais j'étais vigilant. Je suis resté environ deux heures à les photographier. Je me suis rendu compte qu'ils étaient deux sur le tard, car le second était derrière moi à une vingtaine de mètres. En les quittant j'ai eu droit à une escorte somme toute sympathique au regard de la mauvaise réputation justifiée de ce redoutable prédateur aussi opportuniste que féroce avec les autres oiseaux.