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daniel dekens photographies
1 juin 2008

iris et oliviers

le bleu de ces iris de Provence est plus clair que dans le Nord de la France

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Commentaires
G
je viens de trouver votre magnifique photo. J'ai habite longtemps en Provence, je suis maintenant en Normandie... mais je suis toujours éblouie par cette provence colorée et odorante !<br /> <br /> Je suis sous le charme et je viens vous demander si je peux utiliser cette photo pour la travailler en peinture huile ? Je suis amateur et j'aime me laisser inspirer par des photos comme la vôtre ! Pouvez-vous me doner votre accord ?<br /> <br /> gp-nicolas@wanadoo.fr
S
J'adore cette série de deux images, version "chaude" et plus classique avec les coquelicots (ah ! Monet...), version "froide" plus originale avec les iris (ah ! Van Gogh !). Avec le vert tendre des oliviers qui, sur les deux images, met si bien en valeur les couleurs vives des fleurs. Elles forment un beau dyptique (post-)impressionniste, avec en plus, une certaine originalité dans la composition (plan serré, lègèrement basculé) qui renouvellent en beauté le thème d'une Provence très souvent photographiée.
2
Ah ! ce sont des oliviers, je n'avais pas assez mis mon attention sur le feuillage. De toute façon, j'étais dans le faux et je m'en réjouis, ces oliviers n'ont pas été la proie des incendies qui sévissent plus au sud. C'est vrai Etienne, hier en écrivant mon commentaire, j'ai pensé à Pagnol et à Giono et avec la roche que l'on percevait, je m'étais mis en tête une bartavelle qui s'envolait... J'aime beaucoup ton titre en écrivant que Daniel est le Pagnol de Bajus... j'adère complètement. Mon fils est un fervent admirateur de Pagnol et il aura le plaisir de discuter avec le Pagnol de Bajus très bientôt..<br /> Bon dimanche depuis le Rhône<br /> 2nis
E
Ah, les voilà !<br /> La Provence et le Daniel tels qu'on les aime !<br /> Avec une lumière posée sur la colline comme on n'en voit nulle part ailleurs, une poésie dans l'objectif comme on n'en trouve dans aucun autre blog ! <br /> Les iris et les coquelicots en disent beaucoup plus, je trouve, que les méandres du Verdon... On entend le bourdon qui musarde, on voit filer le lézard à nos pieds, on sent la sève grimper dans les oliviers. Et on n'a qu'une envie : s'asseoir et écouter chanter la Provence !<br /> Bon dimanche, Daniel<br /> Amitiés <br /> à +<br /> Etienne
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